Asta ca să-mi mai aduc aminte de franceza ai pe care am uitat-o de tot. Şi fiindcă îmi plac primele versuri teribil de tare.
Rimbaud – Chanson de la plus haute Tour
Oisive jeunesse
À tout asservie,
Par délicatesse
J’ai perdu ma vie.
Ah! que le temps vienne
Où les cœurs s’éprennent.Je me suis dit : laisse,
Et qu’on ne te voie :
Et sans la promesse
De plus hautes joies.
Que rien ne t’arrête
Auguste retraite.J’ai tant fait patience
Qu’à jamais j’oublie;
Craintes et souffrances
Aux cieux sont parties.
Et la soif malsaine
Obscurcit mes veines.Ainsi la Prairie
À l’oubli livrée,
Grandie, et fleurie
D’encens et d’ivraies,
Au bourdon farouche
De cent sales mouches.Ah! Mille veuvages
De la si pauvre âme
Qui n’a que l’image
De la Notre-Dame!
Est-ce que l’on prie
La Vierge Marie ?Oisive jeunesse
À tout asservie,
Par délicatesse
J’ai perdu ma vie.
Ah! que le temps vienne
Où les cœurs s’éprennent.
Off-topic: pofteste la o leapsa, te rog 🙂
M-am făcut cu lepşe din vreo trei direcţii, dacă n-or fi mai multe şi le-am pierdut eu şirul dar leapşa nu se discută, se execută!